D’autres questions ?

Pour­quoi Bruxelles Vor­tex est-il conçu sous la forme d’un jeu de cartes ? Pour­quoi pas une appli, un site web ou une série de livres dont les lec­teurs sont les héros ?

Parce qu’un jeu de carte, ça se par­tage ! C’est le for­mat idéal pour vivre l’a­ven­ture à plu­sieurs. De plus, en tant que for­ma­teur et tra­vailleur du sec­teur non-mar­chand, j’ai beau­coup tra­vaillé sur la thé­ma­tique de la décon­nexion. Je sou­hai­tais que le jeu puisse être vécu comme un moment de pro­me­nade, de décou­verte et de par­tage authen­tique. Enfin, j’aime bien l’i­dée que la tech­no­lo­gie ne fait pas tout. Il suf­fit par­fois de quelques cartes et d’une bonne his­toire pour que nos ima­gi­na­tions s’illuminent. 

Un jeu de cartes pro­po­sant une fic­tion inter­ac­tive, ce n’est pas très original…

C’est exact ! On trouve beau­coup de jeux for­mi­dables sur le mar­ché. Je joue sou­vent à Unlock short adven­tures, une série d’es­cape games qui tiennent dans la poche. J’ai aus­si une vraie pas­sion pour la splen­dide série Car­ta­ven­tu­ra, au game­play fas­ci­nant et aux scé­na­rios immer­sifs et très docu­men­tés. Pour des his­toires plus rapides, le for­mat d’Undo est très inté­res­sant. Enfin, en nos­tal­gique des bons vieux jeux « Point’n’­Click », j’ai ado­ré Pixel Aven­tures. Mais tous ces jeux sont conçus pour être joués à la mai­son. Bruxelles Vor­tex s’en sin­gu­la­rise par un game­play d’une grande sim­pli­ci­té, mais aus­si par la pos­si­bi­li­té qu’il offre de jouer sur les lieux mêmes de l’histoire. 

Où puis-je me pro­cu­rer le jeu ?

Patience… Le pro­to­type de Grand-Place 1927 vient de ter­mi­ner une longue phase de tests. Il attend de ren­con­trer l’é­di­teur ou le par­te­naire qui aura envie d’y croire. Il sera bien­tôt rejoint par Sablon 1943, puis par les épi­sodes sui­vants. Vous êtes éditeur·trice de jeux ? Vous avez envie de sou­te­nir ce pro­jet, ou plus sim­ple­ment d’en savoir plus ? Fixons un rendez-vous !

Qui est l’au­teur de Bruxelles Vortex ?

Je m’ap­pelle Arno et j’ai de nom­breuses pas­sions : la BD et les man­gas, la fic­tion en géné­ral, les fic­tions inter­ac­tives, Bruxelles, l’art du conte, l’a­na­lyse tran­sac­tion­nelle… Convain­cu qu’on vit mieux lors­qu’on est en accord avec ce qu’E­ric Berne appe­lait son Enfant libre, j’ac­corde beau­coup de place au jeu dans ma vie. En dehors de mes loi­sirs, je suis copy­wri­ter et for­ma­teur à Bruxelles.